Se laisser séduire ; permettre, se permettre de se laisser toucher. Touché par ce qu’il y a de touchant. Cela peut être : un morceau de musique, une peinture, une œuvre d’art, un paysage, un sourire, une personne…
Se laisser séduire, c’est laisser entrer un étranger que cela soit sous la forme d’une idée, d’une sensation, d’une impression, d’une personne… dans son espace à soi et aller à sa rencontre.
La séduction ; jeu qui peut se jouer à deux ou à plusieurs. Nous parlerons de cette approche à deux, nous allons tenter d’aborder la question.
«La séduction ; illusion ou réalité ?»
Le séducteur/ la séductrice va laisser à montrer une part de ce qu’il est ou souhaiterait être. Une part de ce qu’il peut, de ce qu’il veut ou voudrait offrir à l’autre. Croire à ses avances à tort ou à raison, habituellement le temps et le vécu préciseront s’il s’agit d’une illusion ou d’une réalité.
Se laisser séduire, c’est laisser entrer un étranger que cela soit sous la forme d’une idée, d’une sensation, d’une impression, d’une personne… dans son espace à soi et aller à sa rencontre.
La séduction ; jeu qui peut se jouer à deux ou à plusieurs. Nous parlerons de cette approche à deux, nous allons tenter d’aborder la question.
«La séduction ; illusion ou réalité ?»
Le séducteur/ la séductrice va laisser à montrer une part de ce qu’il est ou souhaiterait être. Une part de ce qu’il peut, de ce qu’il veut ou voudrait offrir à l’autre. Croire à ses avances à tort ou à raison, habituellement le temps et le vécu préciseront s’il s’agit d’une illusion ou d’une réalité.
Lorsque l’on parle de séduction la notion de jeu y est omni- prégnante. Ce jeu est non-imposé, il est proposé. Dans le cas contraire lorsqu’il est imposé on ne parlera plus de séduction.
Souvent l’acceptation de ce « jeu » des charmes se fera par divertissement, l’entrée en matière par le séducteur/ la séductrice se fera de façon légère ce qui généralement sera le premier élément qui entraînera l’adhésion du séduit à se laisser aller dans ce divertissement récréatif.
Se laisser séduire peut être dû au hasard, hasard de la rencontre avec le charmant, mais aussi suite à l’appât donné à voir par le séducteur ou la séductrice.
Souvent l’acceptation de ce « jeu » des charmes se fera par divertissement, l’entrée en matière par le séducteur/ la séductrice se fera de façon légère ce qui généralement sera le premier élément qui entraînera l’adhésion du séduit à se laisser aller dans ce divertissement récréatif.
Se laisser séduire peut être dû au hasard, hasard de la rencontre avec le charmant, mais aussi suite à l’appât donné à voir par le séducteur ou la séductrice.
Illustration : Any Kash Terres et encre de Chine sur canevas, 2010
«Douce est la séduction ! Ces sensations et émotions vont ouvrir la voie de l’imaginaire»
Que se laisser séduire peut-être doux !
Que l’on soit homme ou femme il reste plaisant de se laisser « appâter », se sentir validé dans un statut d’importance, d’attirant, d’intérêt par celui ou celle qui séduit. Dans cet état le séducteur crée chez sa « victime » une illusion du « tout possible ». Il n’y a dans le début de cette rencontre que du potentiellement faisable, le séducteur/ la séductrice offrant toutes les promesses dans l’instant.
Ces sensations et émotions vont ouvrir la voie de l’imaginaire. Dans cette chimère le séducteur est en tous points à la merci du séduit, tout en étant entièrement orienté vers celui pour lequel il a démontré son intérêt et pour lequel il a manifesté attentions et actions. Le séducteur est idéalisé comme pouvant combler tous les manques, toutes les attentes de celui qui est séduit.
Le vide n’existe plus, il n’y en a plus. Une sensation de complétude est éveillée et rêvée, elle est ressentie dans cet espace crée ! La saveur est dans l’imaginaire mais cette saveur qui accompagne les pensées va conditionner l’envie d’y retourner.
«Où est ce jeu de séduction dans le quotidien du couple ?»
Et qu’en est-il de la place de ce jeu de séduction dans le quotidien du couple ?
Quelles sont les chances du « petit mari », de la « bonne épouse » en regard du séducteur/ la séductrice qui lui offre une histoire d’inédit en marge d’un quotidien connu et répété, une histoire sous la joute de l’interdit qui par là même va en pimenter le/les scénarios possible(s) et que l’on sait par essence passagère donc s’inscrivant dans une intensité du présent.
L’idée du jeu dont la définition nous précise ceci « Une action non imposée, à laquelle on s’adonne pour se divertir et en tirer un plaisir » Petit Larousse, 2010 C’est probablement un concept à cultiver dans les couples aux fins de garder la séduction entre les partenaires.
«Les femmes désirent, les hommes revendiquent»
Les femmes réclameront souvent des maris qui les désirent et non un homme qui « réclame » un dû. Un mari qui les charme qui à l’instar du séducteur saurait les toucher là ou elle vibre, qui saurait leur rendre même pour un instant l’image qu’il n’attendait qu’elle et que seule elle, peut de cette manière ouvrir les portes de la volupté.
Pour les hommes, ils aborderaient bien des revendications où quantité et qualité dans la relation sexuelle sont recherchées. Qualité de la femme amante qui saura susciter le désir en exhibant avec finesse et légèreté son envie de plaisir charnel, qui saura le laisser arriver vers elle, qui lui donnera le pouvoir à cet homme de l’emmener vers et dans la luxure où elle s’adonnera et s’y abandonnera.
«Un homme qui prend une femme»
Et pour terminer une réflexion sur l’acte sexuel proposée par Jean Peyranne Médecin- Sexologue « Faire l’amour (ou le sexe), c’est fort, c’est violent, c’est un homme qui prend une femme qui se livre, un homme qui désire une femme qui s’offre, un homme qui s’enfonce au creux de son ventre et se perd en elle, femme et fièvre faites femme, qui se fait et se défait et s’abandonne… » Revue Sexualités Humaines n°8 p 32
Que se laisser séduire peut-être doux !
Que l’on soit homme ou femme il reste plaisant de se laisser « appâter », se sentir validé dans un statut d’importance, d’attirant, d’intérêt par celui ou celle qui séduit. Dans cet état le séducteur crée chez sa « victime » une illusion du « tout possible ». Il n’y a dans le début de cette rencontre que du potentiellement faisable, le séducteur/ la séductrice offrant toutes les promesses dans l’instant.
Ces sensations et émotions vont ouvrir la voie de l’imaginaire. Dans cette chimère le séducteur est en tous points à la merci du séduit, tout en étant entièrement orienté vers celui pour lequel il a démontré son intérêt et pour lequel il a manifesté attentions et actions. Le séducteur est idéalisé comme pouvant combler tous les manques, toutes les attentes de celui qui est séduit.
Le vide n’existe plus, il n’y en a plus. Une sensation de complétude est éveillée et rêvée, elle est ressentie dans cet espace crée ! La saveur est dans l’imaginaire mais cette saveur qui accompagne les pensées va conditionner l’envie d’y retourner.
«Où est ce jeu de séduction dans le quotidien du couple ?»
Et qu’en est-il de la place de ce jeu de séduction dans le quotidien du couple ?
Quelles sont les chances du « petit mari », de la « bonne épouse » en regard du séducteur/ la séductrice qui lui offre une histoire d’inédit en marge d’un quotidien connu et répété, une histoire sous la joute de l’interdit qui par là même va en pimenter le/les scénarios possible(s) et que l’on sait par essence passagère donc s’inscrivant dans une intensité du présent.
L’idée du jeu dont la définition nous précise ceci « Une action non imposée, à laquelle on s’adonne pour se divertir et en tirer un plaisir » Petit Larousse, 2010 C’est probablement un concept à cultiver dans les couples aux fins de garder la séduction entre les partenaires.
«Les femmes désirent, les hommes revendiquent»
Les femmes réclameront souvent des maris qui les désirent et non un homme qui « réclame » un dû. Un mari qui les charme qui à l’instar du séducteur saurait les toucher là ou elle vibre, qui saurait leur rendre même pour un instant l’image qu’il n’attendait qu’elle et que seule elle, peut de cette manière ouvrir les portes de la volupté.
Pour les hommes, ils aborderaient bien des revendications où quantité et qualité dans la relation sexuelle sont recherchées. Qualité de la femme amante qui saura susciter le désir en exhibant avec finesse et légèreté son envie de plaisir charnel, qui saura le laisser arriver vers elle, qui lui donnera le pouvoir à cet homme de l’emmener vers et dans la luxure où elle s’adonnera et s’y abandonnera.
«Un homme qui prend une femme»
Et pour terminer une réflexion sur l’acte sexuel proposée par Jean Peyranne Médecin- Sexologue « Faire l’amour (ou le sexe), c’est fort, c’est violent, c’est un homme qui prend une femme qui se livre, un homme qui désire une femme qui s’offre, un homme qui s’enfonce au creux de son ventre et se perd en elle, femme et fièvre faites femme, qui se fait et se défait et s’abandonne… » Revue Sexualités Humaines n°8 p 32